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Le 18/12 à 09:08, mis à jour à 09:24

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  La rétrospective Jeff Koons au Centre Pompidou pourrait bientôt détenir le record de l’exposition la plus visitée, dépassant celle de Salvador Dali en 2013. - SIPA

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En dix-sept jours, la rétrospective que le Centre Pompidou consacre au pape du Néo-Pop a attiré 112.844 visiteurs. Elle devance l’exposition Dali qui avait séduit 111.028 personnes sur la même durée en 2013.   Article(s) associé(s)

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Jeff Koons : 1, Salvador Dali : 0. En dix-sept jours seulement, la rétrospective de l’artiste vivant le plus cher a attiré 112.844 visiteurs au Centre Pompidou, devant l’exposition du peintre catalan qui avait séduit 111.028 personnes sur la même durée en 2013.

Avec une moyenne de 6.638 visiteurs par jour -alors que la direction du Centre tablait sur 4.500 personnes, l’artiste américain controversé pourrait bientôt détenir le record de l’exposition la plus visitée du centre, dépassant Salvador Dali (840.000 visiteurs). Les fêtes de fin d’année sont en effet une période de forte fréquentation et la rétrospective Koons ne fermera ses portes que le 27 avril prochain.

    24 heures sur 24 s’il le faut

L’exposition détient aussi le record absolu de fréquentation pour une seule journée avec 9.143 personnes (le samedi 29 novembre), du jamais vu au Centre. Elle devrait aussi dépasser le record de vistes « pour un artiste vivant » détenu jusqu’ici par Pierre Soulages avec plus de 500.000 visiteurs. L’exposition « Matisse, paires et séries » en 2012, la deuxième la plus visitée, avait rassemblé 88.926 personnes en 17 jours et 735.000 au total.

Pour l’instant, le Centre Pompidou pas de dispositif particulier. Mais, si l’affluence reste aussi soutenue « nous sommes capables d’étendre les nocturnes et nous avons prouvé avec Dali que nous sommes même capables d’ouvrir 24 heures 24 s’il le faut », a dit à l’AFP Alain Seban, président du Centre.

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Le pape du « Néo-Pop »

L’exposition déploie sur un grand plateau toutes les icônes de l’artiste: répliques de sculptures en acier inoxydable, objets éphémères de la série « Celebration », principalement des ballons, devenus des pièces monumentales ( voir la bande annonce du centre Pompidou ). « C’est un artiste qui fait parler, un artiste discuté, et les visiteurs ont envie de se faire leur opinion », estime Alain Seban avant de souligner qu’il s’agit là de « la rétrospective la plus complète jamais présentée en Europe ».

L’objet gonflable est un peu le fil rouge de cette rétrospective qui suit un parcours chronologique depuis 1979. Présent à presque toutes les périodes de l’oeuvre de Koons, il témoigne à la fois de son lien profond avec l’enfance, de sa réinterprétation des stéréotypes de la culture populaire et de son jeu sur la représentation.

Devenu un des artistes les plus chers du monde _  _, le pape du « Néo-Pop » est un habitué des records: sa sculpture « Balloon Dog », en version orange, a été adjugée au prix record de 58,4 millions de dollars en 2013.

En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/industrie-services/tourisme-transport/0204026205334-lexpo-koons-bat-des-records-au-centre-pompidou-1076380.php?WLGEYGqhj5GKJw1w.99     http://www.lesechos.fr/industrie-services/tourisme-transport/0204026205334-lexpo-koons-bat-des-records-au-centre-pompidou-1076380.php   www.giacobbegiusti.com

   
newyork observer Absurd on a Grand Scale: The Lunatic Splendor of Murakami Takes Over Gagosian Gallery By Ryan Steadman | 12/17/14 12:27pm

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Takashi Murakami, The Birth Cry of a Universe, 2014.
(Photo courtesy Takashi Murakami/Kaikai Kiki Co., Ltd. Photography by Robert McKeever. Courtesy Gagosian Gallery.)

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Georges Ranunkel                                                                                                             

Co-fondateur de www.ArtFloor.com

L'exposition de peinture Online 2 (transformed visions), à la Tate Modern de Londres, est le deuxième volet du projet conçu par l'artiste franco-polonaise Zofia Lipecka, consistant à exposer ou intervenir de manière virtuelle dans différents lieux. Le premier volet, Online 1, fut présenté en 2013 au Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris.

https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=OBBtiPPZFjE

 

Cette fois, l'artiste accroche virtuellement ses œuvres parmi les collections permanentes du musée, créant des dialogues inattendus. Ainsi Biotopia, une sorte de paradis où les animaux et les humains vivent en bonne entente, côtoie la célèbre vache et son vau coupés en deux de Damien Hirst. La salle consacrée au minimalisme accueille une toile en noir et blanc, dont la géométrie, loin d'être aseptisée, représente les vestiges d'un lycée juif incendié.

Ailleurs, le célèbre  Monochrome bleu de Yves Klein, voisine avec Skyline, de Zofia Lipecka, qui représente une décharge à perte de vue. Parmi les figures déformées de Francis Bacon apparaît celle d'une femme contemplant la mer, qui voit l'horizon et la falaise s'effondrer sous ses pieds. Enfin, dans la salle qui réunit les somptueuses abstractions de Gerhard Richter, surgit, telle une fausse note dans une belle symphonie, la peinture basée sur une photo de presse, représentant un cimetière juif en Alsace profané par des croix gammées.

https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=-hKzvuaO_q0

 

En perturbant ainsi l'accrochage habituel de la Tate Modern, l'artiste tente de bousculer les hiérarchies et d'interroger l'autorité muséale. Bien que, de par sa nature virtuelle, l'exposition soit purement illusoire, elle n'en est pas moins critique et subversive. Tant vis-à-vis du système de l'art dominant, que de la vanité de ses acteurs.

http://www.huffingtonpost.fr/georges-ranunkel/squat-virtuel-a-la-tate-mordern_b_6327230.html

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Image courtesy Guggenheim Helsinki Design Competition Finalist GH-76091181 comprises a ring of slender, sculptural towers faced with timber shingles gathered around a cathedral-like central space.  

The Guggenheim Museum has chosen six finalists in the competition to design its planned Helsinki outpost. The museum announced the six names at a press conference in Helsinki this morning. It also released six sets of renderings, but kept the names and the images apart, noting that “under EU procurement rules the concepts must remain anonymous until the competition concludes.” The finalists will now refine their schemes, with a March deadline; the museum expects to announce its selection in June.

 

Slide Show

Image courtesy Guggenheim Helsinki Design Competition Finalist GH-121371443 drapes a skin of textured glass panels over a bar-like, two-story interior structure, creating an environmentally sustainable public space between the facade and the gallery volumes, with natural light diffused throughout. The intelligent glass wrapper uses technology such as Nanogel glazing and rollable thermal shutters.

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The six schemes range from “a ring of slender, sculptural towers faced with timber shingles, gathered around a cathedral-like central space” to a two-story building draped in “an intelligent glass wrapper.”

To its credit, the Guggenheim also released a report on its selection process. The report notes that when the jurors met in Helsinki last month to deliberate (after having had online access to the entries), chair Mark Wigley, former dean of the Graduate School of Architecture, Planning and Preservation at Columbia University, urged them to “look for schemes which extended or exceeded the brief.” (Some entries, according to the report, had already been “quarantined” for not meeting competition criteria, but the jury then “retrieved and reconsidered” some of those red-lighted entries.)

The finalists are: AGPS Architecture Ltd. (Zurich and Los Angeles); Asif Khan Ltd. (London); Fake Industries Architectural Agonism (New York, Barcelona, and Sydney); Haas Cook Zemmrich STUDIO2050 (Stuttgart); Moreau Kusunoki Architect (Paris); and SMAR Architecture Studio (Madrid and Western Australia). Although six of the 11 jurors are Finnish, none of the finalists is from Finland—not surprising, given that the competition attracted 1,715 entries from 77 countries.

As if to exorcise the ghost of Bilbao, the jurors seemed to steer clear of fussy or “iconic” buildings. Indeed, they went so far as to choose some schemes, according to their report, “whose outward form will only emerge in the second phase” of the competition. Instead, the focus was on urbanism and on imaginative responses to the program. “The single theme, which linked the chosen six,” the jury report states, “was the impulse to expand the idea of what a museum can be.”

The jurors noted strengths as well as weaknesses. The building with the “intelligent wrapper” (finalist GH-121371443) is “still too diagrammatic,” according to the report, but “had such a density of visual impact that it would draw a nickname from the public.” (Suggestions, anyone?) In the case of the cluster of towers (finalist GH-76091181), the jury questioned the need for nine elevators.

wwew.giacobbegiusti.com

http://archrecord.construction.com/news/2014/12/141201-Guggenheim-Museum-Chooses-Six-Finalists-for-Helsinki-Outpost.asp

 

Le Centre Pompidou de Paris organise la première rétrospective européenne consacrée à l'oeuvre de Jeff Koons. L'exposition a été inaugurée le 26 novembre et se terminera le 27 avril.     

meltyFashion vous en a parlé, H&M soutient l'exposition Jeff Koons et l'enseigne de mode en devenant mécène de la rétrospective. C'est un événement majeur dans le milieu de l'art puisque, c'est la première fois qu'en Europe, un musée présente une rétrospective complète de l'artiste américain, de 1979 à nos jours. Le Centre Pompidou de Paris accueille depuis le 26 novembre et ce jusqu'au 27 avril 2015 cette exposition exceptionnelle. Au programme : sculptures et peintures provenant du monde entier composeront cette exposition. La rétrospective sera chronologique et mettra en évidence les différents cycles de travail de Jeff Koons. Des premières oeuvres conçues dans le style pop art aux oeuvres actuelles travaillées en lien avec l'histoire de l'art. Jeff Koons est l'un des artistes contemporains le plus controversé de son époque.

     Violet, Ice Kama-sutra de Jeff Koons.      

Ses différentes approches du "ready-made" (de Marcel Duchamp) jouent avec la frontière entre la culture des élites et la culture de masse. Il est surtout connu pour ses détournements d'objets et de matériaux insolites. Il est l'un des artistes les mieux cotés aux enchères. Son oeuvre fétiche "Puppy" a été vendue 29 765 000 € selon Paris-Match. Si vous êtes curieux d'en savoir plus et d'approcher ses oeuvres majeures, l'entrée de l'exposition est au prix de 13 euros et 10 euros en tarif réduit. Beaubourg organise des nocturnes à partir du jeudi soir afin que vous puissiez profiter de l'exposition en sortant du travail ou des cours. Si vous préférez la culture japonaise, la rédac' vous conseille d'aller à la Japan Expo Sud à Marseille du 6 au 8 mars 2015. Irez-vous voir cette exposition ?  

 

http://www.melty.fr/la-retrospective-jeff-koons-au-centre-pompidou-de-paris-jusqu-au-27-avril-a361398.html